L’essai coécrit par Prof. WU et ses collaborateurs, apparu dans Nature Communications
Le 10 octobre, l’essai nommé «Probing the tunnelling site of electrons in strong field enhanced ionization of molecules» coécrit par Prof. WU Jian du Laboratoire national clé de Spectroscopie de précision de l’ECNU, Prof. R. Döner de l’Université de Goethe de Frankfurt et d’autres érudits. Grace à ses expériences scientifiques, cet essai a parfaitement justifié la prédiction physique de l’ionisation accélérée des molécules il y a 20 ans.
Les réactions chimiques et la transformation des structures moléculaires attribuent au mouvement des noyaux d’atome et leurs électrons. La recherche et le contrôle de l’ionisation accélérée multiélectronique dissociative contribuent à une meilleure compréhension ainsi qu’une meilleure manipulation de ces procès physique et chimique de base et des fonctions des cellules biologiques.
Les molécules présentent un taux beaucoup augmenté d'ionisation multiple dans un champ fort laser par rapport aux atomes de l'énergie d'ionisation similaire. Un modèle largement admis l’attribue à l’action des champs joints des noyaux ioniques voisins et le laser sur son voisin dans la même molécule. L’image physique sous-adjacente pour l'ionisation accélérée montre que les atomes des champs plus hauts sont ionisés. Pourtant, cela reste en discussion et n’est pas prouvé.
Dans cet essai, Prof. WU et ses collaborateurs présentent une vérification expérimentale de cette prédiction depuis longtemps en enquêtant sur l’ionisation double de deux sites d’ArXe, où la direction du champ instantané au moment du relâche des électrons et celle du centre ionisant corrélé sont mesurées en détectant le recul des sum- et relatifs momenta des ions fragments. Les résultats prouvent clairement l’image intuitive de l’ionisation accélérée multiélectron dissociative et met en lumière une controverse depuis longtemps.